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Umfangreiche Sammlung von Aufgaben zur französischen Revolution für Französisch und Geschichte am Gymnasium und in der Realschule
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Der 14. Juli wurde im Jahre 1880 als Nationalfeiertag per Gesetz eingeführt, weil er an 2 wichtige Daten der französischen Geschichte erinnert: Am 14. Juli 1789 war der „Sturm auf die Bastille“; damit war das Ende des Absolutismus in Frankreich besiegelt. Am 14. Juli 1790 feierte man die „Fête de la Féderation“; die Abgeordneten aller Departments und Tausende Franzosen trafen sich, um sich feierlich zu versöhnen.
Zur Zeit des absoluten Königtums (Absolutismus) lasteten die Steuerlasten und Kriegsfolgen schwer auf den Bürgern und Bauern. Sie mussten zwar bezahlen, hatten aber nichts zu bestimmen. Nur die Stände, der Adel und der Klerus waren von der Steuer befreit und hatten alle Rechte. Zur gleichen Zeit fand aber eine Art „Aufklärung“ statt, wo durch Zeitungen und Flugblätter über Ungerechtigkeit, Gerechtigkeit, Rechte und Freiheit informiert wurde.
Hunger und Not als Brandbeschleuniger
Hunger und Not durch Missernten (Brotpreis!) sorgten weiter für das Aufkeimen von Aufruhr. Berichte über die Ausgaben des Staates und das Luxusleben am Hofe trieben die Wut noch mehr an.
Für Ludwig XVI gab es nur eins, nämlich die Steuern zu erhöhen. Dazu musste er die Generalstände einberufen, die für die Steuerbewilligung zuständig waren: Vertreter des Adels und der Geistlichkeit und der Dritte Stand, der aus Bürgern und Bauern bestand, aber nur über 300 Abgeordnete verfügte und somit immer überstimmt werden konnte. Er setzte durch, dass seine Zahl verdoppelt wurde! Damit hatte der Dritte Stand genauso viele Abgeordnete wie Adel und Geistlichkeit zusammen. Übrigens: die letzte Ständeversamm- lung war vor 170 (!) Jahren.
Es ging jetzt nicht mehr nur um Geld, sondern man merkte, dass das ganze Staatswesen verändert werden musste. Ein gefährlicher „Pulvergeruch“ lag in der Luft. Dies zeigte sich schon bei der Eröffnung der Generalständeversammlung im Jahre 1789:
Die Abgeordneten des Dritten Standes waren schwarz gekleidet, der Adel in festlichem Rot und die Geistlichkeit in feierlichem Violett. Dann geschah die Provokation: Bürger und Bauern bedeckten den Kopf mit einem Hut. Bisher war dies ein absolutes Vorrecht der beiden anderen Stände. Zornig wollten diese ihr „Recht“ erzwingen; nur dadurch, dass der König selbst seinen Hut abnahm und alle anderen zur gleichen Haltung zwang, konnte er einen Ausweg finden.
Im weiteren Streit um die Abstimmung (nach Ständen oder Köpfen) haben sich die Abgeordneten des Dritten Standes zur Nationalversammlung erklärt. Nachdem auch Abgeordnete des Adels und der Geistlichkeit wegen eines Neuanfangs übergetreten waren, blieb dem König nichts anderes übrig als die Abstimmung nach Köpfen zu verfügen.
Sturm auf die Bastille am 14.Juli 1789
Im Verlauf der Wirren kam das Gerücht auf, der König versammle Truppen um Paris herum. Völlig aufgebracht strömte das Volk in Paris zusammen. Der Ruf, zu den Waffen zu greifen, wurde immer lauter. In der alten Festung von Paris waren Kanonen und andere Waffen. Um diese Waffen zu holen, wurde daher am 14. Juli 1789 die Bastille gestürmt.
Das Volk begann die Revolution: Landschlösser wurden gestürmt, Adlige aus dem Lande vertrieben. Alle bisherigen Feudalrechte wurden abgeschafft und schließlich verkündete die Nationalversammlung die Menschenrechte.
Bis zum Wahlspruch „Liberté, Égalité, Fraternité“ war es allerdings noch ein steiniger Weg.
Nach der Erstürmung der Bastille (prise de la bastille) war die Revolution noch lange nicht zu Ende. In den folgenden Jahren sollten noch viele bedeutende Ereignisse folgen.
Auch auf dem Lande vereinten sich die Bauern. Sie sehnten sich ebenso nach Freiheit. Sie weigerten sich, weiterhin hohe Steuern zu zahlen, sie stürmten die Landschlösser, sie vernichteten die gutsherrlichen Register und trieben sehr viele Adlige zur Flucht nach Spanien, England und Deutschland.
So kam es am 4. August 1789 in der Nationalversammlung zu einem bedeutenden Ereignis: Ein reicher Großgrundbesitzer schlug die Abschaffung der Feudalrechte des Adels vor. Die Leibeigenschaft wurde abgeschafft, die Herrenrechte gegen Geld abgelöst, die Rechtsprechung durch die Grundbesitzer verschwand. Jeder soll jeden Beruf ergreifen können, der Rechtsweg soll kostenlos sein, alle müssen Steuern bezahlen, alle Menschen sind gleich … Freiheit – Gleichheit – Brüderlichkeit: das war die Losung und Grundlage für die neue Gesellschaft. Dies alles sollte in der neuen Verfassung stehen.
Die Nationalversammlung verkündete am 26. Aufust 1789 die Menschen- und Bürgerrechte (Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen).
Les Représentants du Peuple Français, constitués en Assemblée Nationale, considérant que l'ignorance, l'oubli ou le mépris des droits de l'Homme sont les seules causes des malheurs publics et de la corruption des Gouvernements, ont résolu d'exposer, dans une Déclaration solennelle, les droits naturels, inaliénables et sacrés de l'Homme, afin que cette Déclaration, constamment présente à tous les Membres du corps social, leur rappelle sans cesse leurs droits et leurs devoirs ; afin que les actes du pouvoir législatif, et ceux du pouvoir exécutif, pouvant être à chaque instant comparés avec le but de toute institution politique, en soient plus respectés ; afin que les réclamations des citoyens, fondées désormais sur des principes simples et incontestables, tournent toujours au maintien de la Constitution et au bonheur de tous.
En conséquence, l'Assemblée Nationale reconnaît et déclare, en présence et sous les auspices de l'Etre suprême, les droits suivants de l'Homme et du Citoyen.
Art. 1er. Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits. Les distinctions sociales ne peuvent être fondées que sur l'utilité commune.
Art. 2. Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l'Homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté, et la résistance à l'oppression.
Art. 3. Le principe de toute Souveraineté réside essentiellement dans la Nation. Nul corps, nul individu ne peut exercer d'autorité qui n'en émane expressément.
Art. 4. La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui : ainsi, l'exercice des droits naturels de chaque homme n'a de bornes que celles qui assurent aux autres Membres de la Société la jouissance de ces mêmes droits. Ces bornes ne peuvent être déterminées que par la Loi.
Art. 5. La Loi n'a le droit de défendre que les actions nuisibles à la Société. Tout ce qui n'est pas défendu par la Loi ne peut être empêché, et nul ne peut être contraint à faire ce qu'elle n'ordonne pas.
Art. 6. La Loi est l'expression de la volonté générale. Tous les Citoyens ont droit de concourir personnellement, ou par leurs Représentants, à sa formation. Elle doit être la même pour tous, soit qu'elle protège, soit qu'elle punisse. Tous les Citoyens étant égaux à ses yeux sont également admissibles à toutes dignités, places et emplois publics, selon leur capacité, et sans autre distinction que celle de leurs vertus et de leurs talents.
Art. 7. Nul homme ne peut être accusé, arrêté ni détenu que dans les cas déterminés par la Loi, et selon les formes qu'elle a prescrites. Ceux qui sollicitent, expédient, exécutent ou font exécuter des ordres arbitraires, doivent être punis ; mais tout citoyen appelé ou saisi en vertu de la Loi doit obéir à l'instant : il se rend coupable par la résistance.
Art. 8. La Loi ne doit établir que des peines strictement et évidemment nécessaires, et nul ne peut être puni qu'en vertu d'une Loi établie et promulguée antérieurement au délit, et légalement appliquée.
Art. 9. Tout homme étant présumé innocent jusqu'à ce qu'il ait été déclaré coupable, s'il est jugé indispensable de l'arrêter, toute rigueur qui ne serait pas nécessaire pour s'assurer de sa personne doit être sévèrement réprimée par la loi.
Art. 10. Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l'ordre public établi par la Loi.
Art. 11. La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l'Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l'abus de cette liberté dans les cas déterminés par la Loi.
Art. 12. La garantie des droits de l'Homme et du Citoyen nécessite une force publique : cette force est donc instituée pour l'avantage de tous, et non pour l'utilité particulière de ceux auxquels elle est confiée.
Art. 13. Pour l'entretien de la force publique, et pour les dépenses d'administration, une contribution commune est indispensable : elle doit être également répartie entre tous les citoyens, en raison de leurs facultés.
Art. 14. Tous les Citoyens ont le droit de constater, par eux-mêmes ou par leurs représentants, la nécessité de la contribution publique, de la consentir librement, d'en suivre l'emploi, et d'en déterminer la quotité, l'assiette, le recouvrement et la durée.
Art. 15. La Société a le droit de demander compte à tout Agent public de son administration.
Art. 16. Toute Société dans laquelle la garantie des Droits n'est pas assurée, ni la séparation des Pouvoirs déterminée, n'a point de Constitution.
Art. 17. La propriété étant un droit inviolable et sacré, nul ne peut en être privé, si ce n'est lorsque la nécessité publique, légalement constatée, l'exige évidemment, et sous la condition d'une juste et préalable indemnité.
Der Weg zur neuen Staatsform war allerdings noch weit und schwer. Neue Konflikte entstanden, zunächst wegen der Privilegien und der Rolle der Kirche im Staatsgefüge. Sie verlor auch ihren Grundbesitz. Alle kirchlichen Ämter wurden zur Wahl ausgeschrieben; die Priester wurden zu Staatsbe- amten mit fester Besoldung. Aber der König war dagegen, zumal er ge- zwungen wurde, von Versailles nach Paris „umzuziehen“. Im Juni 1791 floh er deshalb mit der Familie in Richtung Deutschland; aber er wurde erkannt und verhaftet. Für das Volk war er nun ein Hochverräter. Seine Macht wurde eingeschränkt; Exekutive, Legislative und Judikative wurden neu gefasst. Noch blieb Frankreich eine Monarchie.
Während des Umbaus der Staatsform entstanden neue „Clubs“ und ent- wickelten sich zu politischen Parteien, in denen führende Persönlichkeiten, wie Danton, Robespierre, Marat, das Volk durch ihre Reden aufhetzten. Girondisten, Jakobiner bekämpften sich. Die Einigkeit des Volkes glaubten viele in einem Krieg erreichen zu können. So kam es im April 1792 zur Kriegserklärung gegen Österreich. Die wirren Ereignisse der Revolution und des Krieges zerrissen das Land.
Robespierre gehörte zu den Jakobinern. Sie verfolgten eine Republik der Tugend und vernichteten jeden, der sich ihnen in den Weg stellte, durch ihre „Revolutionstribunale“. Auch ehemalige Mitstreiter, wie Danton, Desmoulins, ließ Robespierre hinrichten. Nach und nach sehnte sich das Volk nach einem Ende dieser „Schreckensherrschaft“. Infolge einer Verschwörung wurde Robespierre verhaftet und schließlich 1794 hingerichtet.
Übung zum Passé simple